À la grande époque des jardins à la française, le « cul air code » était également exigé pour qui souhaitait badiner, batifoler, badigeonner, bref, déjeuner sur herbe. Manet, Monet, Mollet, Le Notre notaient en chœur que les passes sanitaires posaient moins de questions qu’aujourd’hui, chacun jardinait à sa guise, vous jouiez triste ou aoûtatiez une ou des aventurières, deux pas sages, tout le monde était vacciné avant de regagner ses pénates (vient du latin penus signifiant provisions de bouche, attention à la méprise).
Cul air code
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