Le Petit Boni, le Petit Prince, Jordi … un visage juvénile aux multiples facettes de jeu (trois-quarts, arrière, demi d’ouverture), le montois de naissance Thomas CASTAIGNÈDE (dont le prénom m’a conforté dans mon choix personnel) m’a autant régalé avec le Stade Toulousain puis le voisin Castres Olympique (un peu moins avec les Saracens) qu’avec la tunique Bleue de 1992 à 2007.
Revenu d’Angleterre comme courtier en assurance, il intègre en 2017 le directoire de la maison toulousaine, là où le minime puis cadet Timothée (énième fils de) continue de charmer sinon séduire. A 15 ans, « le petit Castaignède », a semble-t-il un avenir tout à tracer, l’œil qui frise comme le sourire enjôleur de son paternel ne sont pas que ces premières qualités.
Après Thomas, le papa, et l’homonyme Stéphane, international en 99, né dans le même hôpital montois mais a priori sans aucun lien de parenté, pourquoi pas un nouveau CASTAIGNÈDE dans le gotha rugbystique français ? #nostalgie #rugbydepapa #filsdepote