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De passage dans le Var, mon fils s’est rappelé qu’on ne fait pas d’omelette sans casser des… L, dans cet établissement bien noté. La carte, succincte, néanmoins propre, relève pourtant une autre perle orthographique si l’on passe l’éponge sur les accents (chèvre, appétit). Le CEASAR (comme l’artiste musical ?) n’a pas sa place avec la salade, et encore moins avec le poulet, à moins que le cuistot local ne se soit pas inspiré de la véritable recette (sans ailes). Au passage, j’apprends que le graphème « æ » de Cæsar est appelé en français « a-e entrelacé », « a e-dans-le-a », « a e-dans-l’a » (simplifié par e-dans-l’a) et d’autres noms plus informels comme « a-e lié », « a-e collé », « ligature ae ». Mais rien sur « ea » ou « EA » à part ma signature.
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