Après Bouba en septembre 2018 ou Marius en septembre 2019, voici deux autres mascottes sportives qui me tiennent encore plus à cœur, à savoir Ovalion et Nino.
Le célèbre lion rouge & noir n’en finissant pas de rugir ces temps-ci, sur tous les prés de l’Ovalie, même lointains, sa crinière échevelée séduit bien plus que les pitchouns toulousains.
Supporter du Stade Toulousain (ici à Ernest-Wallon en 2015) comme de l’Olympique de Marseille, j’ai aussi eu le bonheur de croiser dernièrement celui qui a été dans la peau de Nino, toute une soirée au stade Vélodrome, à ambiancer les fadas comme les…minots.
Comme tous les autres types de son statut éphémère, lourd costume et godasse de « plomb » dans les escaliers, chaleur extrême, peu de visibilité, impossibilité à s’exprimer clairement, coups dans le dos ou les épaules, quand ce n’est pas un bisou volé ou une main aux fesses, sans compter l’odeur de transpi qui ferait fuir la moindre nana, on imagine mal toute la bonne volonté nécessaire à divertir (un minimum) tous ces ingrats pendant quelques instants.
NAGUIGNOL comme celui qui rentre dedans, ont bien du mérite.