Le maire d’Allauch, un « homme au grand cœur » (ré)élu depuis neuf lustres (soit exactement 45 ans) a symboliquement lâché ses électeurs au premier jour du dé-con-fi-ne-ment, d'une crise cardiaque.
Celui dont le nom a souvent été associé à Gaud**, Guéri**, Gil** ou Ghal* dans la guerre des G., cette grande gueule de « politique à l'ancienne » s’était pourtant fait gauler aux dernières élections sur son propre terrain, malgré (ou à cause de) toutes les menaces a priori attribuées aux équipes du maire d’alors.
Quand la longue litanie des mandats successifs précède une liste non moins imposante d’affaires judiciaires ça ou là, entremêlées d’histoires politico-familiales des plus sordides, des frasques relayées dans la presse pour un premier magistrat dit poliment « sulfureux », un seul cri de ralliement au moment de la disparition de RP : « Merde alors ! (*)»
(*) Exprime la colère, l'agacement, le mépris, l'indignation, la surprise selon la définition de l'Internaute