Le dernier coup d’A.REY : être, tomber et rester en A.REY, cardio-circulatoire, le mandat d’A.REY comme un signe du destin, A.REY de la Providence, brutal, un temps d’A.REY que l’on aurait aimé prolonger ad vitam eternam.
Sans A.REY, la distance d’A.REY avec les mots, l’homme et son ami le chien (d’A.REY), va nous manquer, du monde de l’édition à la maison d’A.REY aussi c’est un A.REY de volée qui nous immobilise.
A.REY de (télé)travail, A.REY (de) maladie, A.REY de mort, n’auront jamais autant marqué l’A.REY depuis qu’il forçait, l’A.REY, qu’il tenait, l’A.REY, jusqu’au point d’A.REY de la courbe le jour même du re-confinement.
Le Petit Robert (capture ci-contre) est orphelin du grand Alain REY, lequel rimera toujours avec soleil comme le firent Oli, Bigflo et Squeezie "qui dirigeaient les mots comme Alain REY" en 2017.
Pardon, Alain, sans toi, on a ouvert le dictionnaire...